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Cryptozoologie : Bigfoot, Yéti, Marfolat.

Article 1 : L'enlèvement par un yéti, du Dr Hi-Chen, scientifique et recteur de l'université de Oulan-Bator.

Enlèvements d'humains par des Hommes Sauvages Velus : Bigfoot, Yéti, Marfolat...

Cryptozoologie

Ci-dessus, un yéti filmé d'un peu loin, mais bien visible.

Remettre en cause ce qui nous dérange est notre habitude car nous avons besoin d'avoir un monde normé qui nous rassure. Pourtant, ceux qui vivent certaines expériences ne peuvent nier ce qu'ils ont vécu, ce dont ils furent témoins, et parfois, les témoins sont des gens haut placés dans la société, dont la parole est digne de foi.

Ainsi en est-il des enlèvements par des êtres de type bigfoot, vous savez ces grands humanoïdes au corps couvert de longs poils qui se rencontrent sur le continent américain et que les indiens nommaient aussi sasquatch, nommés Yéti en Inde et que nos ancêtres des Alpes françaises nommaient Marfolat.

Tous les cas dont il sera ici question, mais aussi tous ceux présentés dans mon article pour le Magazine Génération Cités d'or, numéros un et deux, et dans mon livre Autres Humanités sont réels et attestés par des procédures de police ou encore, pour les documents les plus anciens par les anciens parlements en France, à savoir systèmes judiciaires de l'Ancien régime.

Ci-dessus : empreintes de yéti photographies par l'armée indienne.

Voici quelques histoires d'enlèvements de personnes par de tels êtres.

Enlèvement par le Yéti d'un éminent universitaire chinois.

En 1930, le docteur Hi-Chen, éminent professeur d'histoire humaine à l'université d'Oulan-Bator en Mongolie était en expédition sur les contreforts de l'Himalaya, et il était assisté de deux sherpas et des yaks portaient le maximum des charges en vivres et matériel. Le chercheur s'était assigné la mission d'étudier la résistance au froid et la possibilité de survie en haute altitude. La veille, le chercheur et ses sherpas avaient été intrigués par d'énormes traces de pas ne relevant pas d'animaux connus, et montrant l'empreinte d'orteils ressemblant à ceux des humains. Les trois hommes et leurs animaux de charge suivirent ces étonnantes traces. Avant la tombée de la nuit, le scientifique mongol ordonna l'édification du camp à l'abri d'un escarpement rocheux protégeant un peu des intempéries, mais surtout, dur fort risque avalancheux. Un feu de bouses séchées de yacks leur permit de réchauffer l'eau pour un thé, puis de s'endormir, emmitouflés dans des vêtements en fourrure. Tandis qu'il dormait ou somnolait, le scientifique fut soulevé et emporté, puis on le déposa sur un sol dur.

Ouvrant les yeux, une semi-obscurité lui révéla qu'il se trouvait dans une caverne. Deux grands êtres velus étaient là devant lui. Ils mesuraient bien plus de deux mètres et l'un d'eux semblait être une femelle étant donné sa poitrine développée. Les deux créatures d'apparence humanoïde le fixaient intensément et paraissaient l'observer comme lui, scientifique aurait observé un singe. Usant d'un langage composé de sons rauques, le couple humanoïde velu échangeait des propos à son sujet. Le scientifique en profita pour détailler ces êtres en tous points semblables aux descriptions qu'en faisaient les populations autochtones de l'Himalaya. A l'exception de leur visage, de longs poils roux recouvraient leurs corps. Le savant était terrorisé. Son fusil était bien entendu resté au campement, et il se trouvait isolé du monde extérieur par une crevasse de quatre mètres de large que le yéti qui l'avait apporté jusqu'ici avait franchi d'un bond. A cette seule évocation, le savant se senti inondé d'une sueur générée par la terreur. Cette terreur était renforcée par l'idée que son sort, sa liberté et sa vie même ne dépendait que de ses ravisseurs. Etaient-ils anthropophages ? Au bout d'un moment, le savant s'imposa un peu de calme puisque le couple humanoïde ne le maltraitait pas. Il évita tout geste brusque. Toutefois, à un moment, le professeur tira sa montre pour regarder l'heure, et la vue de l'objet brillant suscita chez l'un des yétis une sorte de délire joyeux, lorsque le tic-tac de la fonction chronomètre de cette montre à gousset se fit entendre. Les deux yétis se mirent à bavarder entre eux, toujours avec leur langage rauque et inconnu, et ils préparèrent trois grosses boulettes comportant des lichens auxquels ils mélangèrent des morceaux de salpêtre détachés des parois rocheuses, le tout ramolli à l'eau glacée qui suintait des parois. Avec un petit cri, le plus grand des deux, le mâle remit l'une des boulettes à son captif. Le savant goûta et trouva à ce repas de yéti un goût d'algues saumâtres.

Le docteur In-Chen nota que le pouce de l'homme des neiges s'opposait aux autres doigts comme pour l'espèce humaine, tandis que le gros orteil n'avait pas la même particularité, ce qui déterminait des caractéristiques humaines qu'aucun singe ne partage. Il s'agissait donc d'une espèce proche de l'espèce humaine ?

En consultant de nouveau sa montre, le chercheur réalisé qu'il se trouvait depuis six heures en compagnie des yétis, dans cette grotte isolée de l'extérieur par une large crevasse qu'il ne lui serait pas possible de franchir. Allait-il disparaître ainsi, prisonnier des yétis ?

A l'instant où ces réflexions lui traversaient l'esprit, un évènement encore plus invraisemblable que les autres se produisit. La femme yéti lui manifesta un intérêt d'ordre sexuel. Ce manège de sa femelle fit réagir le mâle qui empoigna soudain le scientifique, le chargea sur son épaule, et d'un bond puissant franchit la crevasse, puis en larges foulées le ramena près du campement.

Le scientifique estima que plusieurs kilomètres séparaient le camp de la grotte des yétis. Le yéti disparut très vite.

Ce rapt par un yéti est attesté, et la victime en fut en 1930, le recteur de la faculté de géographie humaine d'Oulan-Bator, capitale de la Mongolie extérieure. Le professeur Hi-Chen a lui-même narré son aventure. A proximité du campement, les sherpas relevèrent les traces du yéti.

Empreinte de yéti photographiée dans les années cinquante.

Ce livre vous présente des témoignages et documents dont photos relatifs aux humanoïdes sauvages et velus de grandes tailles, tels le Yéti, le Bigfoot, le Marfolat des Alpes, le Yéren de Chine ou le Yowie d'Australie, ou de petites tailles. Vous y trouverez aussi beaucoup de renseignements sur l'existence passée de races humaines géantes,et sur des humanoïdes vivants sous la mer. Voir ci-contre les rubriques :

Tous les livres de Marie Roca, Commander un livre et Génération Cités d'Or.

Ci-dessus, les deux premiers numéros du superbe magazine Génération Cités d'Or, dans lesquels figurent les deux articles constituant tout un dossier de Marie Roca sur les enlèvements d'humains par des êtres de type bigfoot.

Les tirages papier de ces deux numéros sont épuisés, mais vous pouvez acheter à faible coût le téléchargement en PDF de ces deux numéros. Voir la boutique de Génération Cités d'Or : 

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Article 2 : Russie : Enlèvement de la jeune Oksana par un Almasty, bigfoot local.

Carte de la région du Caucase où vit l'Almasty

Voici sans doute la plus documentée de toutes les histoires d'enlèvements par un être de type bigfoot. Elle advint dans les années 90 et est donc récente, et elle fut dévoilée à Saint Pétersbourg par le psychiatre Nicolaï Boyarchuk. Ce docteur fit la démonstration de l'authenticité de l'histoire en présentant le dossier de sa patiente, mais aussi les documents de police concernant ses deux disparitions, cette histoire étant échelonnée dans le temps. Nous connaissons même l'identité complète de la jeune fille concernée.

Adolescente moderne, en plein désarroi amoureux, Oksana Terleskaya partit se promener en forêt afin de réfléchir sur sa situation, mais elle ne put retrouver son chemin et comprit que le soir tombant, il lui fallait se résigner à passer la nuit en forêt, ce qui ne fut pas sans l'angoisser, et vous verrez qu'il y avait de quoi. Elle trouva des framboisiers sauvages et se délectait des baies lorsqu'elle entendit un bruit étrange à proximité. Elle écarta les branches et vit devant elle une grande créature velue au pelage roux qui lui évoqua un orang-outan. La jeune fille cria et perdit connaissance.

Lorsque la jeune Oksana revint à elle, elle se trouvait dans une grotte depuis laquelle elle entendait un ruisseau qui coulait à proximité. La lumière parvenait un trou dans la voûte de la grotte. Comment était-elle parvenue là ? Son dernier souvenir la remonta à la cueillette des framboises, et à ce qu'elle vit face à elle...

Oh mon dieu ! La bête était là, assise, face à elle ; elle était bien réelle !

Laissons Oksana narrer son histoire comme elle le fit aux policiers puis au psychiatre.

« Tang, c'est ainsi que je l'ai nommé par la suite était assis en face de moi. Il se leva et commença à me renifler, puis il rugit et déchira mes vêtements. Mon cœur allait exploser d'horreur, mais il continua de me renifler jusqu'à ce que son nez s'arrête près de mon aine. Il rugit de nouveau et se jeta sur moi. »

Lorsque Oksana se réveilla le lendemain, elle se rendit compte qu'elle était à la fois la prisonnière de ce monstre velu et sa « femme ».

Lorsqu'il sortait, Tang obturait l'entrée de la grotte avec un gros rocher afin qu'Oksana ne s'échappe pas. Il rapportait toujours quelque chose à manger, des baies, des noix, des champignons, des œufs ou de la viande crue.

Ci-dessus, un Almasty filmé par une caméra fixée à un arbre.

Le terrible rapport sexuel imposé par l'homme-bête devint une torture pour la jeune fille. L'eau coulait à l'extérieur de la grotte, et la jeune fille aurait voulu se laver et boire de cette eau fraiche mais Tang refusait de la laisser sortir.

KINO, le groupe de rock russe qu'Oksana écoutait et dont son bigfoot Almasty aimait beaucoup une chanson.


La belle et la bête commencèrent à développer une relation au sens inter échange de ce mot. Tang s'intéressa au lecteur C.D de la jeune fille ; elle n'avait avec elle qu'un disque du groupe Kino, célèbre groupe de rock russe des années quatre-vingt-dix. Lorsque Oksana montra au bigfoot comment écouter la musique avec le casque sur les oreilles, il fut d'abord horrifié, puis il s'habitua et aima écouter le C.D. Il aimait particulièrement l'une des chansons, mais lorsque les piles furent usées, Tang ne comprit pas ce qu'il se passait et secoua en vain l'appareil. Oksana retira les piles et les lui montra en lui faisant comprendre qu'il en fallait d'autres.

Le lendemain matin, l'Amasty prit avec lui l'une des piles et partit. En rentrant à la caverne le soir, Tang déposa un paquet de piles, exactement du bon format. Sans doute était il entré dans un magasin en ville. Oksana en conclut que la grotte de son séjour forcé n'était sans doute pas très loin d'un village.

Lorsque Tang commença à engranger de la nourriture pour l'hiver, Oksana a songé que l'automne était là, d'ailleurs elle commençait à avoir froid et le fit comprendre à Tang. Le soir même il lui rapporta une veste matelassée chaude et un pantalon.

Plus tard, un rapprochement fut fait avec un fait divers. Un trappeur déclara avoir été attaqué début octobre par un monstre qui l'avait secoué et dépouillé de ses vêtements avant de disparaître.

En fouillant les poches de sa nouvelle veste, Oksana découvrit un briquet. Et voici ce qu'elle fit, raconté par elle :

« J'ai choisi des branches sèches qui se trouvaient sur le sol et j'ai allumé un feu. Voyant le feu, Tang devint très excité avec un mélange de colère et de peur. Je me suis approchée et je l'ai tapé sur la tête. Il a mis son gros bras autour de moi. Quelques jours plus tard, il était heureux de me rejoindre près du feu. Nous avons commencé à faire griller des châtaignes et de la viande. Tang fut ravi de goûter à la viande grillée.

J'espérais que les chasseurs remarqueraient la fumée qui sortait du trou du plafond de la grotte, mais ce ne fut pas le cas. J'ai pris froid au début de l'hiver. Tang a compris que j'étais malade, et il a essayé de me donner des racines et des plantes. Il me serrait doucement la nuit pour me réchauffer. »

Oksana parvint à s'enfuir lorsque le printemps fut établi. Depuis quelques temps, Tang l'emmenait le matin pour voir le soleil mais il n laissait jamais la fille sortir seule. Un jour, il semblait inquiet, mais avant de sortir, il a mal obturé la porte. Oksana dut toutefois faire de très gros efforts avant de pouvoir libérer assez d'espace pour s'enfuir.

Ses parents qui étaient sans nouvelles d'elle furent à la fois heureux de voir leur fille, et décontenancés par ses propos qui semblaient incohérents. Elle fut enfermée en hôpital psychiatrique et suivie par le Dr Boyarchuk.

L'histoire est bien loin de s'arrêter là !

La suite de cette histoire est inimaginable et à ne pas manquer, mais si vous voulez connaître toutes les données de ce cas très singulier, et de bien d'autres, je vous invite à vous offrir le téléchargement peu onéreux des numéros un et deux du magazine Génération Cités d'Or.

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L'enlèvement du trappeur Bauman par un bigfoot

Cette histoire fut rapportée dans l'un des livres de Teddy Roosevelt ( The Wilderness Hunter, 1893). Elle advint cependant bien des années auparavant. Bauman était alors un jeune homme. Lui et un de ses amis trappaient le castor sur la rivière Wisdom. Étant donné que la trappe se faisait mauvaise, ils voulurent remonter la rivière dans une région plus éloignée où paraît-il, il y avait beaucoup de castors. Cette région avait pourtant une mauvaise réputation car un chasseur solitaire qui s'y était aventuré l'année auparavant avait été tué, sans doute, par une bête sauvage. Cependant Bauman et son ami ne se laissèrent pas impressionner et ils se rendirent sur place. Un jour, alors qu'ils revenaient du trappage, ils découvrirent que leur campement avait été visité lors de leur absence sans doute par un ours. Les traces étaient bien distinctes au sol mais ils n'y firent pas attention. Plus tard, ils examinèrent ces traces et s'aperçurent que le pilleur marchait debout.

"Patty", femelle bigfoot filmée par Patterson. Film analysé par des scientifiques; la créature a été estimée réelle, la musculature adhère au pelage, ce qui ne serait pas le cas avec un déguisement.

Une nuit, Bauman fut réveillé par du tapage à l'extérieur de leur abri. Une très forte odeur d'animal s'imposa à leurs narines et il aperçut à l'entrée de l'abri la silhouette d'un grand corps. Il prit son fusil et tira en direction de l'ombre. Il manqua sans doute son coup car il entendit presque immédiatement un bruit de branches brisées et écrasées. La chose s'enfuit dans la forêt noire. La nuit suivante, les hommes montèrent la garde à tour de rôle près du feu et ils furent très mal à l'aise en entendant des bruits de branches brisées ainsi qu'un long hurlement particulièrement sinistre. Le matin venu, les deux hommes décidèrent d'abandonner leur camp.

Deux bigfoot filmés en Pennsylvanie

Moulage d'empreinte de bigfoot

Bauman alla récupérer les derniers pièges de castor tandis que son ami resta au camp pour emballer le matériel. Bauman trouva deux castors pris dans les pièges et il lui fallut un certain temps pour les relever. Le soleil était déjà très bas lorsque Bauman revint dans la clairière près de l'abri et appela son ami. Pas de réponse. Le feu qu'il avait allumé avait encore quelques volutes de fumées. Bauman fit quelques pas et trébucha sur le corps de son ami. Horrifié, il se précipita et s'aperçut que le corps était encore chaud. On voyait à sa gorge l'empreinte de 4 grands crocs. Le pauvre en attendant Bauman avait tourné le dos à la forêt, face au feu et il fut tué par cette créature. Bauman croyant avoir affaire à une créature démoniaque abandonna tout sauf son fusil. Il descendit en hâte jusqu'à la clairière où il trouva leurs poneys qui broutaient. Il les libéra et s'enfuit sur l'un d'eux dans la nuit.

Sources : The Bigfoot Encounters et LES PHÉNOMÈNES INEXPLIQUÉS, Sélection du Reader Digest, 1982.

Ci-dessus la vidéo tournée par Patterson et qui fait désormais autorité.

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