Attaque démoniaque vécue le 21 juin 2024
Témoignage vrai sur l'attaque vécue le 21 juin 2024
Toute ma vie, j'ai subi des attaques démoniaques.
Au tout début de sa grossesse, ma mère a reçu le "mauvais œil" de la part d'une voisine sicilienne qui lui avait demandé un service illicite que ma mère refusa.
Lorsqu'elle se rendit à la maternité pour accoucher, la maternité était surchargée; on fit à ma mère, une piqure pour retarder l'accouchement, et trois semaines plus tard, comme s'il ne fallait pas que je naisse, et j'étais un fœtus en souffrance, si bien que dans une autre maternité, on fit à ma mère une autre injection, cette fois pour précipiter l'accouchement. Je naquis avec trois fois le cordon autour du coup, donc pendue, mais aussi avec trois dents déjà sorties !
Nouvelle attaque du mal, deux jours plus tard
L'affaire fut dissimulée, mais ma mère s'inquiéta de la rougeur de mon œil, et dans un premier temps on la rassura. Toutefois maman obtint la vérité sur une infirmière qui lui fit promettre de garder pour elle cette vérité, car elle pouvait perdre sa place.
Avant la sortie de maternité, la mère supérieure qui dirigeait la maternité vint trouver ma mère et lui dit :
- Votre fille doit absolument être protégée des attaques du mal; voici un petit ange à agrafer à son berceau.
Ma mère fixa donc le médaillon au berceau.
Peu après être rentrée de maternité, tandis qu'elle préparait le repas dans la cuisine, ma mère eut comme un pressentiment, et se précipita dans la chambre, où elle surprit une voisine folle, montée en catimini dans l'appartement, et qui allait m'étouffer dans mon berceau.
Peu après, cette voisine profita du sommeil de son époux pour lui écraser le crâne à coups de marteau.
Tout cela est déjà énorme pour un si petit bébé, mais ce ne fut que le début, car avant l'âge de cinq ans, je connus plus de dix tentatives de me tuer ou de me nuire gravement physiquement. Parmi ces tentatives, alors que j'avais quatre ans, un tueur en série échappé de prison, armé d'une arme à feu vint chez nous, alors que mes deux aînés étaient à l'école, et que j'étais seule avec ma mère et le bébé. Si je suis encore là pour en parler, c'est que ma mère eut un bon réflexe et nous sauva. Je raconterai cette histoire une autre fois.
Petite, toutes les nuits, je m'éveillai, et il y avait un démon dans la pièce. Mes parents attribuaient cela à des cauchemars, mais l'être hideux était bien là.
Suite à des transfusions lors d'interventions chirurgicales, ma mère devint habitée par des entités, et elle se mit à rejeter ses deux files, surtout moi, tout en encensant ses trois fils. Elle générait des histoires dans la belle-famille et dans sa famille, médisait, bref, divisait pour régner;e en fait ce qui agissait n'était plus son âme, piégée par l'être néfaste qui la possédait.
Parfois, l'être relâchait la pression, et l'âme de maman pouvait s'exprimer; elle me faisait un petit cadeau venant du marché, mais cela ne durait pas. Je n'avais pas alors d'explication sur ces étranges comportements.
Toute ma vie, je fus confrontée à des agressions démoniques, mais aussi, al contrario, à des faits surnaturels spirituels magnifiques.
Après sa mort, et même avant, j'ai pardonné à ma mère. Son âme était piégée, alors je fis appel à une passeuse d'âmes, mais cette dernière me délivra des deux terribles envoûtements reçus au cours de ma vie, à savoir celui mis par la Sicilienne en début de grossesse de ma mère, puis un autre qui me fut mis par une voisine jalouse et malfaisante qui pratiquait le vaudou, ce dont je faillis mourir.
La passeuse d'âmes me fit accepter ma médiumnité que je refoulais, et elle m'apprit à me protéger et m'enseigna comment faire passer les âmes. J'eus beaucoup à faire en ce domaine.
J'ai fini par avoir à vaincre des démons, et particulièrement des démons tourmentant des jeunes femmes ou jeunes filles classées schizophrènes et de ce fait maltraitées par l'administration de drogues néfastes qui ne solutionnent rien.
Une fois délivrées, ces personnes ont toutes repris un cours de vie normal.
La dernière démonique vécue par moi est toute récente. Il faut avoir à l'esprit que nous vivons une période très particulière concernant la lutte du bien contre le mal, dont le bien sortira vainqueur.
Ceci s'est déroulé dans la nuit du 20 au 21 juin 2024, jour de solstice.
D'abord, un petit préalable, pour montrer que ma mère avait quelques éclairs de conscience quant à son parasitage. En janvier 2011, elle fut hospitalisée pour un problème d'infection urinaire, et lorsque nous vînmes la voir, son regard était noir; elle avait pourtant les yeux bleus; c'était le regard du mal. Elle fut abominable à l'hôpital envers moi et mon époux, j'ai vu que son regard n'avait rien d'humain. Le personnel fut choqué par la manière dont ma mère se comporta, et virent le mal que ça me fit. lorsque plus tard l'infirmière lui expliqua ce qu'elle avait fait, ma mère pleura et m'appela en pleurant, demanda pardon et elle me dit :
- Ce n'est pas moi, c'est la chose en moi.
Ce ne fut pas facile, mais j'ai accordé mon pardon à ma mère.
Voici ce qu'il advint il y a quelques jours, le 21 juin 2024 presque à l'aube.
Déjà en soirée, vers 21 heures, j'étais sur mon canapé, et dans mon oreille gauche, uniquement, j'ai entendu deux voix qui parlaient, à deux reprises. L'une des voix était féminine. Plus tard, lorsque tout le monde fut couché et que je lisais, à plusieurs reprises il y eut d'étranges bruits chez moi, et une impression de présence m'observant.
J'ai pensé me lever et brûler de l'encens, ce que je ne fis pas, car mon époux n'aime pas trop ça.
Absorbée par ma lecture, je me suis couchée vers 2h 15 environ, et je mets du temps avant de m'endormir.
Voici le vécu, mais ce n'est pas un rêve, même si au départ, j'étais endormie. Je suis dans mon lit, et une entité approche, effrayant, je le sens, mais en dormant, je mets le drap sur mon visage. L'entité met ses mains sur mes tempes et juste avant, je pense qu'elle va me tirer les cheveux. Elle pousse d'horrible rugissements. En fait, elle place ses mains sur mes tempes, et aussitôt, sans doute est-ce mon âme qui m'informe de la nature de cette entité, je dis à deux reprises :
- Je t'aime maman, je t'aime maman.
La chose qui grognait s'enfuit dès que j'ai dit ces mots.
Là j'ouvre les yeux, en balbutiant encore des choses; je suis donc éveillée.
Face à moi, la porte de la chambre est entrouverte d'un quart, et dans le couloir, il y a une puissante lumière jaune, chaude, chaleureuse. Je pense que mon époux s'est levé, mais je le sens à mon côté. Il dort comme un bébé.
De plus, il me vient à l'esprit que la lumière du couloir, à savoir celle de l'escalier est faible et à peine teintée, donc rien à voir avec cette puissante mais douce lumière jaune orangée, laquelle me rappelle quelque chose, et j'en parle ensuite.
Là, le jour commençant à se lever, mon regard est attiré vers le bout de mon armoire, à droite, et je vois la chose !
Horrible ! Une sorte de momie, mais pas parcheminée, visage décharné blanc avec des morceaux de chair pendouillant, cheveux longs et gris, et des sortes de lambeaux de linceul grisâtres pour vêtement. En fait elle va vers les volets, la fenêtre étant ouverte car il faisait chaud et semble ouvrir l'un d'eux pour partir ; on dirait plutôt qu'elle est passée au travers du lourd volet de bois.
Il est aux environs de cinq heures du matin.
La porte de chambre est refermée et plus de lumière jaune.
J'en conclus qu'il y a eu une intervention autre que moi pour faire fuir l'entité démoniaque.
Concernant cette entité horrible, il s'agit sans aucun doute de l'entité qui investissait ma mère pour la faire agir de manière très dure envers ses deux filles, une entité diviseuse et semeuse de querelles et de drames. Son but était de créer de la haine entre nous, mais aussi de récupérer l'énergie dégagée par nos souffrances.
Si elle était parvenue à m'intégrer, elle aurait pu me... faire interner.
Ma puissance, si je me dégage totalement de mes vieilles souffrances, si je prends le dessus, dérange le mal !
Justement, je rédige l'histoire de ma vie en mettant en relief ces attaques du mal tout au long de ma vie, et al contrario, les événements spirituels que j'ai vécus, et parfois très forts.
En cette période où l'humanité doit franchir un cap, ils ont tenté de m'anéantir définitivement, mais échec et mat pour eux.
Ma fille se protège avec le mot "AMOUR". Parfois, elle se retrouve paralysée par des entités, mais aussitôt, elle visualise ce mot AMOUR, et les entités s'enfuient.
La phrase que j'ai prononcée a fait comprendre à l'entité maléfique que je l'ai percée à jour, et surtout identifiée comme étant celle qui parasitait maman, et ma phrase lancée par mon âme fit comprendre à l'entité goule, la chose, que toute son œuvre de destruction nous avait fait énormément de mal, certes, mais in fine, nos âmes sont sauves !
La lumière jaune qui m'a protégée : gardien du seuil esprit des lieux.
Cette lumière s'est déjà manifestée une fois.
Il y a quelques années, avant de partir en vacances, en Espagne, j'ai fait une demande avant de fermer la porte :
- Gardien du seuil, esprit des lieux, je m'adresse à toi. Sois le gardien de cette maison. Que nul n'entre dans cette maison en notre absence, et qu'aucune personne mal intentionnée n'en approche. Merci gardien du seuil, esprit des lieux.
Lorsque nous sommes rentrés, de nuit, deux semaines plus tard, les cinq personnes que nous étions ont vu une étrange lumière jaune par le fenestron grillagé qui se trouve près de la porte d'entrée, et nous avons pensé avoir oublié d'éteindre en partant.
Dès que nous avons ouvert la porte, avec nos clés, plus de lumière !
Pour ce 21 juin 2024, c'est bien le gardien du seuil qui est venu à ma rescousse !
Il a ouvert la porte et
manifesté sa lumière jaune de façon très concentrée, très puissante. L'entité
qui s'était reculée lorsque j'ai fait ma déclaration d'amour à maman était
prise entre deux feux : celui de l'amour que j'avais manifesté, et celui de la
puissante lumière émise par le gardien du seuil, lequel agit sur le plan
physique. Cette chose, le regard tourné vers la porte était terrorisée. Pour qu'elle se retrouve en un seul instant, à l'instant où elle allait m'incorporer, ainsi précipitée en arrière et à l'autre bout de la pièce, il faut que le gardien du seuil s'en soit saisie.
La nuit suivante, j'eus un superbe rêve.
Mon ami Théo décédé en 2013 était barde.
Dans ce rêve, j'étais dans un
corps rajeuni, peut-être vingt-cinq ans, je portais une robe longue fluide, et
je marchais pieds-nus, de jour, le long de ma maison, en remerciant la nature
pour sa beauté, et on était le premier mai, jour de Beltaine. Tandis que je
marchais, mon ami Théo apparu sur ma gauche et marcha avec moi. En revenant, je
m'aperçus qu'au sol, j'étais passée sans même me couper le pied, sur des bouts
de verre qui se trouvait là. Bref, le danger ne m'atteignait pas.
La fenêtre du séjour était plus basse dans le rêve qu'elle ne l'est en réalité, et Théo et moi, nous nous assîmes chacun sur un bord de la fenêtre pour discuter. Théo me fit remarquer que j'avais un superbe bouquet de muguet, disposé dans un vase dans le séjour, et c'était mon fils qui me l'avait apporté !
Là, je me suis réveillée. Ce rêve était très cool.
L'une des raisons pour lesquelles le mal a décidé de se débarrasser de moi, c'est que je me suis défaite des blessures ancestrales inscrites dans mes cellules. Nous portons les séquelles des souffrances de nos ancêtres dans nos cellules.
Je l'ai fait en simplifiant la méthode donnée par la passeuse d'âmes, et en allant sur deux milles ans.
C'est le lendemain que la "chose" a tenté de s'investir en moi et a échoué.
J'ai aussi commencé le travail sur ma propre vie, année par année, mais c'est lourd, donc je vais le faire plusieurs fois, et mes cellules seront neuves du point de vue de l'énergie émotionnelle, des freins, des blocages.
Je vais gagner en puissance.
Cette histoire a un étrange prolongement.
La ligne temporelle créée par le mal.
Voici ce qui est arrivé le samedi 22 juin, vers 13h15. Je dois sortir prendre un café gourmand et faire des courses avec une amie. Elle doit passer me prendre à 14 heures, et comme quelqu'un sonne à la porte à 13 h 15, je me dis qu'elle est très en avance.
Je vais ouvrir et il y a deux jeunes gendarmes dont une femme. Le gars me dit qu'on leur a signalé une femme dépressive suicidaire nommée (il me donne un prénom et un nom, et ce nom commence par les mêmes deux premières lettres de mon nom d'épouse, mais le reste et le prénom sont différents). On leur a dit que c'était au numéro 4.
Je leur dis que nous sommes en voie privée, avec des numéros de maisons et d'immeubles, et ma maison est un 4 bis comme d'autres maisons, il y a un 4 ter et un 4 aussi, toutefois nous avons un numéro de rue à deux chiffres pour toute la voie privée, à savoir 300 logements; le reste de la rue avant et après ce numéro est voie publique. Quelle est l'adresse exacte qu'on leur a signalé au niveau de la rue ? C'est en fait le 4 de la rue qu'on leur a signalé. Il leur faut donc remonter toute cette longue rue.
A ce moment, une fois qu'ils sont partis, je regarde sur Google, et en fait, le numéro 4 de la rue partie publique est à l'intérieur de l'H.P...
Etrange venue et erreur de leur part.
Cela fait tilt; la sombritude avait créé une ligne temporelle intentionnelle, à savoir, si j'avais été investie par la "chose", j'aurais possiblement pété les plombs, et je ne les dérangerais plus.
Ils n'ont pas refermé la
ligne. Une femme de la même rue, mais voie publique, a peut-être pété les plombs et son
nom commence par la même syllabe que le mien., ou alors, compte-tenu de l'adresse signalée, les gendarmes ont reçu un appel "bidon" et non traçable...
Si cette personne était réellement dans ce pavillon de l'H.P, on ne voit pas pourquoi les moyens sur place n'auraient pas été utilisés, et pourquoi il aurait été fait appel à des gendarmes.
Tout ceci est parfaitement réel, hélas !
Si vous saviez combien toute ma vie j'ai rêvé d'une simple vie tranquille, normale !