Qu'est-ce que l'Esprit d'un lieu ?

22/07/2024

L'esprit des lieux

  • « Différents lieux. sur la surface de la terre, dégagent des effluves de
    vie différents, des vibrations diverses, des exhalaisons chimiques
    différentes, sont polarisés vers d'autres étoiles. Appelez-la comme
    vous voudrez, mais l'âme des lieux est une grande réalité. »

  • D.H Lawrence. Études sur la littérature classique américaine (Paris: Le Seuil, 1945), p. 15.


  • Cette définition de l'Esprit de lieux a le mérite d'exister, mais ne donne qu'une impression globale et non pas la réalité affinée que nous pouvons percevoir, ressentir, parfois aussi mal vivre en chaque petit coin de nature, chaque appartement ou maison, chaque unité construite ou non comme un lieu de travail, commerce, atelier, bureau, hôpital, et ce pour des raisons relevant de divers ordres, comme la réalité de perturbations géo biologiques naturelles ou induites, électromagnétiques de plus en plus agressives, d'accumulation de souffrances et de décès en un endroit, et pire encore d'infestations de plus en plus fréquentes et nocives par des entités malveillantes qu'on peut aisément nommer démons.


  • Aux USA, des quartiers entiers sont la proie des démons ; des lotissements deviennent inhabitables. Il faut dire qu'il n'est guère de maisons où des résidents ou leurs prédécesseurs n'aient utilisé le « oui-ja » un jour ou l'autre, et ce faisant ont ouvert des portes énergétiques négatives qu'il eut mieux valu laisser closes, et qui ne furent jamais refermées.


  • Il nous faut donc distinguer un état naturel présidant à l'esprit des lieux, de l'esprit des lieux lui-même, tel que nous l'éprouvons de nos jours en un lieu donné, et qui fut sans doute moins chargé il y a deux milles ans qu'il ne l'est à présent.

  • Je fais partie de ces personnes qui détectent naturellement l'eau, même à distance, sans faire usage de baguettes ni d'autre antenne que la perception de mon corps lui-même. Voici deux exemples sur ma perception à distance. Une jeune fille m'écrivit au sujet d'un kyste mal placé qu'elle avait trois fois chirurgicalement fait enlever et qui revenait toujours. Son logement, chez ses parents était situé à cinq cents kilomètres de chez moi. En lisant sa lettre, j'ai visualisé son habitat, son lit contre un mur ou une cloison limitrophe d'une autre chambre dont le lit était également adossé au même mur. Les chambres étant à l'étage, je descendis mentalement jusqu'à une ancienne cave dans laquelle à l'aplomb du mur commun à ces deux chambres se trouvait un puits d'une très grande ancienneté, situé sur une ligne de faille et possiblement au point négatif d'un réseau de Hartman. D'une part, lorsqu'elle était allongée dans son lit, le point le plus négatif se situait à l'aplomb de l'endroit de son corps où par réaction son corps produisait ce kyste ; d'autre part, concernant la personne dans le lit de la chambre voisine également à l'aplomb, c'est son mental qui était atteint, et cela pouvait amener cette personne à un suicide généré comme de façon hypnotique. Karine, l'adolescente fut stupéfaite par ma détection. Ses parents avaient construit cette maison neuve en conservant l'ancienne cave et le puits très ancien qui s'y trouve. Sa chambre au premier niveau et celle de son frère âgé de quinze ans avait un mur mitoyen à l'aplomb de ce puits. Une nuit, son frère se leva et elle suivit, car elle avait un pressentiment. Il se sentait appelé par des forces pour se jeter dans le puits ; Karine l'en empêcha.

  • Suivant mon conseil, elle déplaça son lit vers le mur opposé, et elle fit faire de même à son frère. Plus jamais ce dernier ne se sentit appelé près du puits, et Karine n'eut plus de récidive concernant son kyste.

  • Autre exemple de ma perception des énergies naturelles à distance. Il y a une trentaine d'années, avant que nous ayons tous internet, je correspondais par lettres avec une femme écrivain d'Auvergne. Lorsque je reçus sa première lettre je perçus que L, cette femme écrivain m'écrivait depuis son séjour et qu'une source traversait son séjour, ce qui n'a rien de commun. Elle fut surprise de mon ressenti parfaitement exact car elle écrivait depuis la pièce de séjour de sa très vieille maison adossée à un rocher, l'eau coulant au milieu de son séjour à chaque printemps, ce qui était justement la saison en laquelle nous échangions.

  • Sur place, je perçois toutes les énergies qu'elles soient naturelles ou historiques.

  • Je reviendrais sur cet aspect, extrêmement important.


  • Voyons ce qu'il en est des perturbations géobiologiques, lesquelles peuvent faire partie de l'identité des lieux et repousser ou attirer des personnes, des animaux mais aussi des forces invisibles.


  • Les réseaux telluriques

  • Des réseaux tridimensionnels s'étendent sur toute la surface du globe. Ils sont constitué de "murs" d'ondes stationnaires correspondant à différents métaux présents dans le noyau terrestre. Il existe donc de nombreux réseaux. Les réseaux telluriques se manifestent même dans une cage de Faraday ; ils ne sont donc pas de nature électrique. Ils peuvent être mis en évidence de façon radiesthésique ou sensitive, mais aussi avec un appareil acoustique, ce qui démontre leur existence.

  • Les lignes de ces réseaux sont polarisées alternativement. Sur leurs points de croisement se manifeste une baisse de rayonnement bioénergétique qui à la longue affecte la santé. Il est donc important de s'assurer que de tels croisements sont absents de l'aplomb des lits et des bureaux, à savoir des lieux où les personnes demeurent longuement et de façon quotidienne.

  • Les deux réseaux les plus présents sont le réseau Hartmann parfois également nommé réseau Nickel, et le réseau Curry également nommé le réseau fer. Voyons de quoi il retourne.


  • Réseau Hartmann ou réseau nickel

  • Il s'agit d'un quadrillage de lignes souterraines orientées N-S et E-O

  • avec une longueur de la trame Nord-Sud de 2 m, et une

  • longueur de la trame Est-Ouest de 2,50 m, ce, avec une épaisseur de ligne de

  • 21 cm. Du fait de ce maillage étroit, la probabilité de trouver le point de perturbation ou nœud de Hartmann à l'aplomb d'un lit est donc très élevée du fait du maillage étroit.


  • Réseau Curry également nommé réseau fer

  • Cet autre quadrillage de lignes orientées NE - SO et NO - SE

  • se présente sous forme de carrés de 7 à 8 m de côté pour une épaisseur de ligne

  • de 40 cm.


  • Les cotes de ces réseaux sont données à titre indicatif. Leurs dimensions subissent parfois des variations importantes, tant dans la largeur de la bande que dans l'espacement des lignes. Ceci en fonction de nombreux paramètres tels la géologie, la pente du terrain, le moment de la journée, le rayonnement électromagnétique artificiel, l'influence des autres planètes, l'imminence d'éruptions volcaniques ou de séismes.[1]


  • Effets générés par la station prolongée à l'aplomb d'un nœud de réseau :


  • Après plusieurs années de sommeil sur un nœud de réseau, la baisse de rayonnement affecte le système nerveux, la bonne marche hormonale et le système immunitaire. Il impacte aussi la vitalité d'un organe exposé de façon répétée et prolongée. Si le lit se trouve ainsi placé, on aura un sommeil perturbé, et pour un bureau, on notera des difficultés de concentration, des crampes, des maux de tête. Au bout d'un certain nombre d'années, cela peut dériver en cancers. Ainsi, il n'est pas rare qu'en immeuble, tous les habitants successifs d'un appartement soient atteints d'un même cancer, tout simplement parce que les chambres étant de faible surface, les lits y sont toujours placés de la même manière, au même endroit. A Paris, on s'étonna que tous les médecins qui se succédaient dans un cabinet médical soient tous atteint d'un même cancer, l'un après l'autre. Dans les années 70, le médecin repreneur du cabinet fit venir un géobiologue, et celui-ci détecta un énorme nœud de réseau à l'aplomb du fauteuil du praticien ; pour bien profiter de la lumière, tous les médecins avaient positionné leur bureau et donc leur fauteuil exactement de la même manière. Leurs graves ennuis de santé venaient de là.


  • Ma propre expérience me montre que plus l'étage est élevé, plus l'influence de ces perturbations semblent élevées. Nous habitions un immeuble de quatre étages proche d'une rivière importante. Le quartier était construit sur un sol argileux, ancienne zone de marécages, proche d'un campus également construit en zone marécageuse mais où des pompes tournaient en permanence, ce qui n'était pas le cas dans la zone de copropriétés où nous nous trouvions. Il y avait trois montées d'escaliers, et dans chacune, à gauche, les appartements avec deux chambres, et à droite, ceux plus grands avec trois chambres. Nous habitions dans la première montée, en début d'immeuble, et côté gauche au troisième étage. Au-dessus de nous était un couple avec deux enfants. En-dessous, un trio de sourds-muets, tous très nerveux, agressifs. Tous les couples qui se succédèrent dans notre appartement divorcèrent. Parmi eux, le premier couple de l'habitant du premier étage, côté droit cette fois. En rentrant de son travail de kinésithérapeute, il trouva son appartement vidé de tous ses meubles, la petite d'un an toute seule au milieu de l'appartement. Il forma un autre couple et emménagea au premier étage avec sa seconde compagne, le temps de construire leur maison. Le couple qui succéda au kiné et qui nous précéda avait aussi un enfant en bas-âge et divorça. Nous eûmes un enfant, et il y eut des tensions dans notre couple. Lorsque notre enfant eut trois ans, à notre tour nous fîmes bâtir, mais je cherchais depuis longtemps, et lorsque je visitais soit un appartement, une maison ou un terrain à bâtir, je ressentais les énergies négatives des lieux. En certains endroits, pourtant d'apparence magnifique, je ne pus descendre de voiture pour visiter le terrain. Lorsque j'ai visité celui pour lequel j'ai dit oui, il était évident que j'étais faîte pour cet endroit, pourtant particulier, mais j'en reparlerai. Pour en revenir à cet immeuble, le jeune couple au-dessus de nous eu de terribles scènes, et le divorce advint. Le couple du rez-de chaussée avait divorcé. Côté gauche, tout semblait stable. J'eus parfois la nette impression que l'immeuble bougeait, mais mon époux ne le ressentait pas. Il se rendit à l'évidence de la nature problématique de l'endroit, le jour où revenant de week-end, nous eûmes le plus grand mal à ouvrir la porte de l'appartement qui semblait avoir « bougé ». Depuis toujours j'avais remarqué une large fissure sur le crépi, juste à gauche de la porte d'entrée de notre cage d'escaliers, près du mur d'angle extérieur de l'immeuble, et je trouvais qu'elle évoluait. La construction de notre maison était alors avancée et nous devions bientôt déménager. C'est à ce moment que le conseil de copropriété ayant choisi de faire un ravalement de façade, l'entrepreneur s'inquiéta de cette fissure et en parla au syndic. Un sondage du sous-sol dévoila que sous les fondations, à l'emplacement de la première cage d'escaliers côté gauche, le terrain argileux avait évolué, et un creux de plus d'un mètre de vide s'était formé, et tous les appartements à l'aplomb, étaient en déséquilibre et pouvaient être rapidement menacés d'effondrement si un socle de béton n'était pas injecté. L'immeuble étant toujours là trente-cinq ans plus tard, je suppose que les travaux furent effectués. Je m'en suis approchée et mon ressenti ne fut pas négatif, et il en fut de même pour le petit bout de terrain de l'immeuble.

  • Toujours pour ce qui est de la confrontation de l'un de mes ressentis dans l'enfance avec la réalité qui fut découverte des années après, voici une autre des mes expériences de l'esprit naturel des lieux.

  • Nous vivons dans une région ouvrière et minière qui n'est pas située dans le bassin houiller du Nord. Les logements pour ouvriers s'étaient créés au dix-neuvième siècle en même temps que s'installaient usines métallurgiques et pour cela, exploitation massive des mines carbonifères, chemin de fer et route nationale pour transporter tout cela. Durant des siècles, toutes ces terres vers lesquelles confluaient à présent l'apport nouveau d'une population ouvrière avaient été dévolues à la seule exploitation agricole. L'un de mes grands-pères et sa conjointe habitaient depuis très longtemps dans l'un de ces logements sans confort moderne, sauf l'électricité. A partir de 1970, l'une des bâtisses, celle où mon père avait grandi fut démolie et dans l'autre immeuble, les logements furent restructurés, dotés de salles d'eau, enjolivés, et des garages furent construits dans la cour, dont à l'emplacement de la bâtisse démolie. Avant ces travaux, lorsque mon grand-père était en vie et que je lui rendais visite, je me sentais bien dans une certaine zone de la cuisine, mais très mal dans une autre partie. J'étais enfant, mais vraiment j'avais ce ressenti de malaise en une zone de la cuisine. Après la cuisine, il y avait deux chambres en enfilade ; pas de problème dans la première, mais dans la seconde, là encore je me sentais comme si j'étais attirée par le vide et que j'allais basculer. Mon grand-père décéda en 1968, et peu après son immeuble très vétuste fut démoli et les garages édifiés en cet endroit.

  • En 1980, une habitante de l'immeuble rénové rentre sa voiture dans le garage et ferme la porte basculante du garage, mais à cet instant elle entend un énorme bruit et une petite secousse tellurique se fait sentir. Elle lève la porte de son garage, et là, vision incroyable, son véhicule est suspendu dans le vide, un énorme trou s'étant constitué dessous. Il sera établi qu'en fait, cet immeuble était construit au-dessus d'un puits de mine exploité dans l'antiquité, et dont la très ancienne exploitation était donc inconnue.

  • La cuisine de l'ex appartement de mon grand-père se situait à l'aplomb du futur garage et du trou de l'antique exploitation de charbon. Mon ressenti d'enfance avait trouvé sa justification.


  • Les failles géologiques

  • Les failles sont des zones de rupture entre des masses rocheuses qui se sont déplacées l'une par rapport à l'autre. Elles peuvent aussi se matérialiser sur des zones où sont présents des matériaux de nature géologique différents (sable/ argile par exemple). La différence de potentiel électrique entre les deux côtés de la faille crée un champ électromagnétique qui perturbe le rayonnement de neutrons thermiques montant des profondeurs de la terre. Ceci favorise l'infiltration du rayonnement gamma issu de la désintégration radioactive d'éléments gazeux et de minéraux du noyau terrestre. De ce fait, le rayonnement gamma remonte jusqu'au sol de façon localisée, provoquant une ionisation des particules de tout ce qui se trouve à l'aplomb. Plus la faille est profonde, plus l'intensité du rayonnement est importante.

  • Ce rayonnement ionisant provoque l'arrachement des électrons constituant les atomes de notre corps. Des ruptures peuvent ainsi se produire dans l'ADN, ce qui favorise l'apparition de processus de cancérogenèse. On peut observer l'effet des failles sur les maçonneries par des fissures verticales, même si toutes les fissures ne résultent pas de faille.

  • Ce cas me semble justement être celui de l'immeuble construit sur d'anciens marais où j'ai résidé sept ans avec mon époux. La fissure qui s'était constituée ne se limitait pas en surface mais avait ébréché l'angle de la structure, un peu comme si on avait fait une grosse entaille bien visible dans un gâteau sans couper totalement la part.


  • Les veines d'eau souterraines

  • Lorsque de l'eau circule, un courant électrique apparaît du fait du frottement de l'eau avec les matières minérales. Ceci entraîne le même phénomène que dans une faille géologique mais le rayonnement ionisant est généralement plus intense. Il est augmenté par le débit de l'eau et surtout par la profondeur de la veine d'eau. Les effets perturbants sont donc similaires à ceux d'une faille mais ils peuvent apparaître encore plus rapidement.


  • Les ondes de forme

  • En quelques mots, tout ce qui est composé d'atomes émet des vibrations de faible énergie (la matière n'est rien d'autre que de l'énergie concentrée). Autour des objets rayonne une partie de cette énergie sous forme d'ondes stationnaires. Les formes pointues anguleuses ou pointues émettent des ondes concentrées qui exercent une influence sur nos cellules. Il convient donc de ne pas stationner dans le prolongement d'angles, d'arêtes, de tranches et de pointes qui peuvent rayonner une énergie qui nous est défavorable... parfois sur plusieurs mètres.

  • Mieux vaut ne pas placer lit ou bureau dans un angle, mais aussi dans le prolongement du cône d'une parabole ou de sa tranche, sous un tube creux dirigé vers le ciel, genre support d'antenne télé, sous une poutre massive ou supportant un grand poids.

  • Je conseille à chacun de ne pas hésiter à faire appel à un géobiologue lorsque cela s'impose.

  • Beaucoup de cavaliers vous diront que leurs chevaux refusent de passer à tel endroit, ce qui oblige le cavalier à faire un détour. Ces chevaux ressentent fortement les perturbations géobiologiques. Les chiens et chats les ressentent aussi, mais curieusement, là où les chiens vont fuir ces endroits, les chats semblent rechercher ces emplacements, sans que cela ne leur nuise. Je pense que la nature de leurs poils les immunise et leur permet même de se recharger en de tels lieux.


  • Les éléments naturels présents en sous-sol et les diffusions d'ondes qui en résultent sont donc un élément socle pour déterminer l'esprit du lieu, mais c'est très insuffisant, et voici un exemple. Lorsque dans les années quatre-vingt-dix, Pierre fit construire sa maison, il prit soin de faire venir un géobiologue, et il pensait donc avoir construit dans les meilleures conditions énergétiques. Il vivait depuis trois ans dans sa maison lorsque je m'y rendis par beau temps. A l'extérieur, je lui indiquai les emplacements de nappes d'eaux souterraines, avec un endroit de rayonnement négatif, et cet ami qui ne savait pas que j'avais cette sensibilité et ces capacités fut surpris de m'entendre exprimer exactement ce que le spécialiste lui avait dit, la différence étant que je n'avais en main ni baguette ni autre accessoire. Toutefois, le géobiologue sait comment dévier certains courants négatifs, et cela ne fait pas partie de mes capacités. Ceci dit, à cette occasion précise, je captai autre chose qu'un géobiologue ne capte pas s'il n'est en même temps médium. Déjà à l'extérieur, quelque chose me mettait mal à l'aise et me titillait, mais cela ne relevait pas de la géobiologie. Tout s'éclaircit une fois à l'intérieur de la maison, où je fus prise de nausées et de vertiges devant la cheminée du salon, et je demandai quelle pièce était à l'étage, juste au-dessus de cette cheminée, et l'ami me répondit qu'il s'agissait de la chambre du couple. Ce n'était pas bon du tout, mais devais-je lui dire ce que je voyais et ce que son couple risquait ? Ce couple avait trois enfants et semblait en parfaite harmonie, pourtant, quelques années plus tard, l'épouse quitta son domicile en abandonnant ses enfants à son époux, pour aller vivre avec un autre homme qu'elle avait connu en son adolescence.

  • J'ai remarqué à plusieurs reprises que des femmes attachées à leurs enfants les abandonnent pourtant à leur époux en quittant les lieux, lorsque ces derniers sont affectés par une grosse perturbation soit géologique, soit d'un autre ordre. Lors de ma visite de sa maison, so épouse étant alors en vacances avec les enfants, devant la cheminée, j'av ais révélé à Pierre ce que je voyais : des morceaux de corps humains arrachés au terme de supplices ; je vis pâlir cet ami qui me dévoila qu'au Moyen-âge, les fourches patibulaires de la grande ville voisine se situaient dans ce secteur. N'étant pas originaire de ce coin, je l'ignorais. Les fourches patibulaires faisaient suite aux lieux d'exécution et parfois de supplices sur place des condamnés, et cadavres et morceaux de corps y étaient ensuite exposés. Les cadavres des condamnés n'étaient pas inhumés en terre consacrée des cimetières, mais dans une fosse collective au pied des fourches patibulaires. Pierre avait donc construit sa maison sur cette fosse. Je dis encore dans la voyance qui m'était donnée, qu'au dix-neuvième siècle, tous les restes qui étaient encore enfouis ici avaient été mis dans une fosse commune au cimetière de la commune la plus proche, mais il restait les miasmes des souffrances endurées par ces corps, et la cheminée était comme une ouverture pour le passage de ces miasmes.

  • Ici, l'esprit des lieux du fait de l'historique du lieu était et demeure un esprit de souffrance qui met particulièrement mal-à l'aise les personnes à leur insu réceptives comme l'était sans doute celle qui partageait la vie de Pierre ; en ce cas, on attribue ce malaise quotidien, persistant à l'autre dont on partage la vie en ce lieu, et non pas au lieu lui-même. Un certain nombre de divorces proviennent bel et bien du mal-être résultant de l'historique du lieu.


  • Nous avons vu que l'esprit des lieux répond d'abord au préalable de données géobiologiques, en second lieu de données historiques du lieu. Dans le cas de la maison de mon ami Pierre, c'est le lieu d'établissement de la maison, l'affectation historique du sol qui est en cause, et il n'est pas dit que d'autres maisons du même lotissement ne soient pas elles aussi affectées, et nous n'avons pas encore parlé d'entités, mais juste des miasmes de souffrances emmagasinés sous terre en ce lieu et qui trouvèrent une sorte de porte ouverte dans la maison neuve de cet ami. Le sol et la pierre emmagasinent de nombreuses informations.


  • Si vous allez sur le site d'un ancien champ de bataille où nombre de jeunes hommes furent raflés en pleine jeunesse, vous aurez probablement une première impression pesante, un ressenti de peur, de tristesse et de souffrance mais aussi de colère, car ceux qui sont morts en ce lieu avaient ces ressentis au moment de leur mort et leur propre mort fut subite, et la plupart ne sont pas passés dans la lumière. Toute personne non médium peut avoir de tels ressentis en de tels lieux, mais pour les médiums, c'est pire car ils voient et entendent ces morts et les bruits de bataille. En de tels lieux, l'esprit géobiologique n'est plus que secondaire. Pourtant en certains cas, on peut se demander si certains lieux n'étaient pas préalablement dotés d'une vocation à la bataille, à la guerre. Parmi tous ces endroits, Verdun est le plus emblématique car son nom vient de deux racines gauloises. « dun » désigne le village en situation en général un peu élevé et il vient du mot « dunon ». « Ver » vient de la racine velte « GWER » découlant de la racine de la langue indo-européenne « GWEAR » qui donna les mots « Guerre », « Guerra », « Wehr », « War », pour n'en citer que quelques-uns. Verdun signifie donc « village de la guerre » ; peut-être place-forte.

  • Le village de Verdun portait ce nom depuis longtemps avant la première guerre mondiale. Il y eut sans doute des antécédents guerriers à cet emplacement il y a plus de deux milles ans. Ceux qui firent en sorte qu'une bataille s'y déroule lors de la première guerre mondiale, au vingtième siècle ignoraient-ils ce point ?

  •  https://geobio-logique.com/equilibre-energetique/equilibre-energetique-suite_perturbations-geobiologiques-naturelles-reseau-hartmann-curry-faille-eau-souterraine-ondes-de-forme-parabole.html


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